L’organisme requérant la traduction assermentée peut aussi exiger que celle-ci soit aussi légalisée.
Il y a deux procédures fondamentales pour légaliser les traductions assermentées. La première, et la plus commune, est celle de présenter la traduction assermentée (avec le document original déjà légalisé auprès de l’administration correspondante) auprès du Ministère Espagnol des Affaires Étrangères et de la Coopération, à Madrid, où est légalisée la signature du traducteur assermenté dans chacune des traductions. Pour ceci, vous devrez prendre rendez-vous au Ministère Espagnol des Affaires Étrangères (www.maec.es).
Quelquefois il faut compléter cette démarche avec l’authentification de cette diligence auprès du Consulat du pays de destination.
La deuxième procédure est la certification notariée. Elle consiste en la légalisation de la signature du traducteur assermenté dans une étude de Notaire et en la postérieure légitimation de la signature du notaire dans l’Ordre des Notaires correspondant, où sera ajoutée l’Apostille de La Haye —si la traduction est destinée à un pays signataire de la Convention de La Haye— ou autres type de diligence si la destination du document est un pays non signataire de la Convention.
Si vous ne pouvez pas vous occuper de cette démarche personnellement, il y a des entreprises de légalisation de documents et des cabinets d’affaires spécialisés qui peuvent s’en occuper aber une autorisation notariée.